Le rapport souligne que 40 % des cas recueillis dans les differents bureaux de SOS racisme est le racisme de « basse intensité ». Ce type de discrimination se produit souvent dans divers domaines de l'accès à la santé, l'éducation ou les services publics en général, l'accès à la population locale et au travail où se déroule la majorité des actes de racisme implicite. Parvenir à prouver ce type de racisme augmente les difficultés, et SOS Racisme rappelle qu'il faut ajouter à cela « la désinformation » sur ceux qui cherchent à signaler ces cas. Manque de connaissances juridiques et les institutions ont des moyens suffisants pour remédier ce problème, les travaux qui selon l'organisation, doivent être une priorité .
À cet effet, SOS Racisme propose la « création urgente d'un parquet spécialisé pour les crimes de haine et de discrimination » , la mise en œuvre des « Protocoles d'action » pour éviter « la désinformation des plaignants » , faire que leurs « plaintes peuvent être efficaces », ainsi qu'éviter les possibles « abus qui sont une réalité au niveau de la police » (30 % des plaintes pour racisme).
Le racisme dans le discours politique et social
Le rapport met à la lumière un aspect positif en premier lieu. La réaction générale de la société espagnole au phénomène de migration a été « bonne ». L'organisation propose également d'ouvrir un « débat social et institutionnel » sur les limites de la liberté d'expréssion et d'essayer de mettre fin à « tout ce qui va contre l'immigration ». Ce type de discours xénophobes va main dans la main de « l'augmentation de l´exclusion sociale », puisque cela augmente les « possibilités de conflit ».
Selon l'organisation, « dans un contexte de crise économique au sens de la concurrence dans l'accès aux ressources est accentué ». Le « discours de l'invasion » qui dominait dans les années 2006 et 2007 est remplacé à partir de 2011 par « le discours de la concurrence », mis en œuvre par des personnes à faible revenu et ceux dont le « statut n'est pas affecté par cette supposée concurrence ».
Ce rapport de SOS Racisme indique une grande différence des attitudes de rejet selon la nationalité des immigrants, les maghrébins et africains noirs etant les plus touchés par le jugement social collectif .
Mohamed Cissé
Administrateur de Coaguines.com
À cet effet, SOS Racisme propose la « création urgente d'un parquet spécialisé pour les crimes de haine et de discrimination » , la mise en œuvre des « Protocoles d'action » pour éviter « la désinformation des plaignants » , faire que leurs « plaintes peuvent être efficaces », ainsi qu'éviter les possibles « abus qui sont une réalité au niveau de la police » (30 % des plaintes pour racisme).
Le racisme dans le discours politique et social
Le rapport met à la lumière un aspect positif en premier lieu. La réaction générale de la société espagnole au phénomène de migration a été « bonne ». L'organisation propose également d'ouvrir un « débat social et institutionnel » sur les limites de la liberté d'expréssion et d'essayer de mettre fin à « tout ce qui va contre l'immigration ». Ce type de discours xénophobes va main dans la main de « l'augmentation de l´exclusion sociale », puisque cela augmente les « possibilités de conflit ».
Selon l'organisation, « dans un contexte de crise économique au sens de la concurrence dans l'accès aux ressources est accentué ». Le « discours de l'invasion » qui dominait dans les années 2006 et 2007 est remplacé à partir de 2011 par « le discours de la concurrence », mis en œuvre par des personnes à faible revenu et ceux dont le « statut n'est pas affecté par cette supposée concurrence ».
Ce rapport de SOS Racisme indique une grande différence des attitudes de rejet selon la nationalité des immigrants, les maghrébins et africains noirs etant les plus touchés par le jugement social collectif .
Mohamed Cissé
Administrateur de Coaguines.com
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