Nous sommes en Guinée. Plus exactement à Fria, ville de 80 000 habitants
située à 160 kilomètres de la capitale Conakry. Cette ville est surtout
connue pour son usine d'alumine qui lui a permis de connaître un rapide
développement économique et démographique. Mais depuis la reprise de
l'usine il y a dix ans par Rusal, géant minier russe, les choses se
dégradent à Fria.
Autrefois surnommée « Petit Paris » car alimentée en électricité en permanence, la ville de Fria traverse aujourd'hui une crise sans précédent. Il y a un an, une grève se déclenche et conduit à l'arrêt pur et simple de l'activité de l'usine, les laissant sans salaire et plongeant la ville dans une détresse économique et sociale.
Le 4 avril dernier, date anniversaire du début de la crise, les salariés décident de sortir dans la rue pour manifester leur mécontentement et demander au gouvernement de les sortir de cette impasse. Mais le bout du tunnel semble encore loin.
RFI
Autrefois surnommée « Petit Paris » car alimentée en électricité en permanence, la ville de Fria traverse aujourd'hui une crise sans précédent. Il y a un an, une grève se déclenche et conduit à l'arrêt pur et simple de l'activité de l'usine, les laissant sans salaire et plongeant la ville dans une détresse économique et sociale.
Le 4 avril dernier, date anniversaire du début de la crise, les salariés décident de sortir dans la rue pour manifester leur mécontentement et demander au gouvernement de les sortir de cette impasse. Mais le bout du tunnel semble encore loin.
RFI
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire