Les leaders de l'opposition dite radicale regroupés au sein du Collectif
des partis pour la finalisation de la transition, de l'Alliance pour la
démocratie et le progrès (ADP) et du Club des républicains (CDR) n'ont pas
répondu vendredi, à l'invitation du ministre guinéen de l'Administration du
territoire et de la décentralisation, pour leur participation au cadre du
dialogue permanent.
Selon le porte-parole de l'opposition et président du parti Union des Forces du Changement (UFC) Aboubacar Sylla, cette absence s'explique par le fait que le courrier du ministre aurait été déposé jeudi au environ de 18 heures au siège de l'Union des Forces démocratiques de Guinéen (UFDG), parti principal de file de l'opposition.
Cette forme d'invitation ne réponde pas aux normes requises pour solliciter la présence des acteurs politiques, toutes tendances confondues, au cadre de dialogue permanant piloté par le Premier ministre guinéen Mohamed Said Fofana, sur instruction du président Alpha Condé.
Toutefois, le porte-parole de l'opposition a réitéré la volonté et la détermination des leaders politiques du Collectif, de l'ADP et du CDR à reprendre leur place autour de la table de négociation et du dialogue permanant, dès que les conditions seront propices pour la relance des travaux.
Il a par ailleurs précisé que la reprise du dialogue dépend aussi du prolongement du gèle des activités de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) dont la date est arrivé à terme jeudi 21 mars et la libération de leurs militants arrêtés depuis environ un mois.
Du coté du gouvernement, on déclare ignorer complémentent les motifs qui ont poussé les leaders de l'opposition à décliner l'offre d'invitation à la reprise du dialogue. C'est du moins l'avis d'un cadre du ministère de l'Administration du territoire, membre du cadre de dialogue.
Xinhua
Selon le porte-parole de l'opposition et président du parti Union des Forces du Changement (UFC) Aboubacar Sylla, cette absence s'explique par le fait que le courrier du ministre aurait été déposé jeudi au environ de 18 heures au siège de l'Union des Forces démocratiques de Guinéen (UFDG), parti principal de file de l'opposition.
Cette forme d'invitation ne réponde pas aux normes requises pour solliciter la présence des acteurs politiques, toutes tendances confondues, au cadre de dialogue permanant piloté par le Premier ministre guinéen Mohamed Said Fofana, sur instruction du président Alpha Condé.
Toutefois, le porte-parole de l'opposition a réitéré la volonté et la détermination des leaders politiques du Collectif, de l'ADP et du CDR à reprendre leur place autour de la table de négociation et du dialogue permanant, dès que les conditions seront propices pour la relance des travaux.
Il a par ailleurs précisé que la reprise du dialogue dépend aussi du prolongement du gèle des activités de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) dont la date est arrivé à terme jeudi 21 mars et la libération de leurs militants arrêtés depuis environ un mois.
Du coté du gouvernement, on déclare ignorer complémentent les motifs qui ont poussé les leaders de l'opposition à décliner l'offre d'invitation à la reprise du dialogue. C'est du moins l'avis d'un cadre du ministère de l'Administration du territoire, membre du cadre de dialogue.
Xinhua
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