PARIS-- Le ministère français des Affaires étrangères a regretté jeudi les violents heurts, survenus la veille dans la capitale guinéenne, entre forces de l'ordre et manifestants de l'opposition.
"Nous déplorons les actes de violences survenus lors de la marche de l'opposition organisée à Conakry le 27 février, pour réclamer l'amélioration des conditions d'organisation du prochain scrutin législatif", a déclaré un porte-parole du Quai d'Orsay.
Cette manifestation, interdite par les autorités guinéennes, a rassemblé mercredi plusieurs milliers de personnes dans les rues de la capitale du pays ouest-africain, venus réclamer des élections libres et transparentes, lors de l'échéance électorale de mai prochain.
Les violences qui ont émaillé cette marche tenue à l'appel de l'opposition guinéenne ont fait, selon les derniers chiffres disponibles, une centaine de blessés, tant parmi les manifestants que dans les rangs de la police.
"La France appelle l'ensemble des acteurs politiques guinéens à faire preuve de retenue et à s'engager, sans délai et de bonne foi, dans un processus de dialogue politique", a indiqué le diplomate français.
"Seule la voie du dialogue permettra en effet de rétablir la confiance nécessaire à la tenue d'élections législatives libres et transparentes", a-t-il conclu.
Faisant l'objet dans son pays d'une grogne grandissante en raison du report sine die du scrutin législatif, décidé en avril 2012, Alpha Condé est le premier président démocratiquement élu de la Guinée.
Cette nouvelle date du 12 mai 2013, qui est envisagée pour la tenue de ce scrutin législatif tant attendu, doit cependant être confirmée par décret présidentiel avant le 4 mars.
"Nous déplorons les actes de violences survenus lors de la marche de l'opposition organisée à Conakry le 27 février, pour réclamer l'amélioration des conditions d'organisation du prochain scrutin législatif", a déclaré un porte-parole du Quai d'Orsay.
Cette manifestation, interdite par les autorités guinéennes, a rassemblé mercredi plusieurs milliers de personnes dans les rues de la capitale du pays ouest-africain, venus réclamer des élections libres et transparentes, lors de l'échéance électorale de mai prochain.
Les violences qui ont émaillé cette marche tenue à l'appel de l'opposition guinéenne ont fait, selon les derniers chiffres disponibles, une centaine de blessés, tant parmi les manifestants que dans les rangs de la police.
"La France appelle l'ensemble des acteurs politiques guinéens à faire preuve de retenue et à s'engager, sans délai et de bonne foi, dans un processus de dialogue politique", a indiqué le diplomate français.
"Seule la voie du dialogue permettra en effet de rétablir la confiance nécessaire à la tenue d'élections législatives libres et transparentes", a-t-il conclu.
Faisant l'objet dans son pays d'une grogne grandissante en raison du report sine die du scrutin législatif, décidé en avril 2012, Alpha Condé est le premier président démocratiquement élu de la Guinée.
Cette nouvelle date du 12 mai 2013, qui est envisagée pour la tenue de ce scrutin législatif tant attendu, doit cependant être confirmée par décret présidentiel avant le 4 mars.
Xinhuanet
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