Le gouvernement guinéen a évoqué jeudi à Conakry pendant une réunion avec la Société Financière Internationale, Rio Tinto et les compagnies Chalco et Chinalco l'acquisiton de 7,5% de participation gratuite dans Simfer, a appris Minesdeguinee.com de sources officielles.
Cette acquisition entrainera l'amendement de la convention et de l’avenant à la convention, ajoutent nos sources.
Les différentes parties prenantes dans le projet Simandou ont également abordé, pendant leur rencontre tenue loin de la presse nationale et internationale, le transfert de la gestion du projet de Paris à Conakry, ainsi que les aspects liés à la construction du chemin de fer et du port. Volet infrastructures ferroviaires, elles ont surtout touché les trois options proposées par Rio Tinto, à savoir le tracé Beyla-Kérouané-Kankan-Kouroussa jusqu’à Forécariah, le tracé à 10 km de la frontière de la Sierra Leone et celui à une distance de 2 kilomètres des frontières Léonaises.
Mais le gouvernement guinéen, très soucieux de la sécurité de ses infrastructures a demandé à ce que le chemin de fer soit à l'intérieur du pays et non à quelques kilomètres du territoire de la Sierra Leone.
"Je suis vraiment satisfait et le niveau des discussions était profond'', a déclaré Alan Davies, président des opérations internationales pour le fer de Rio Tinto.
Côté guinéen, on apprécie également le déroulement des débats. Le ministre d'Etat aux Travaux publics et Transport, Bah Ousmane estime que cette réunion période du Comité de pilotage du projet Simandou a abordé des questions très importantes notamment en matière d’infrastructures routières, ferroviaires et portuaires.
"Ce qui est très important, c’est d’avoir enregistré que les partenaires et la Guinée se sont accordés pour la réalisation des infrastructures routières, notamment le lancement de la construction et du bitumage de la route Beyla-N’Zérékoré, dont le contrat sera signé bientôt", a indiqué Bah.
"La réunion a été très positive et je pense que l’impact de ce projet se fera sentir très prochainement", a-t-il conclu.
Cette acquisition entrainera l'amendement de la convention et de l’avenant à la convention, ajoutent nos sources.
Les différentes parties prenantes dans le projet Simandou ont également abordé, pendant leur rencontre tenue loin de la presse nationale et internationale, le transfert de la gestion du projet de Paris à Conakry, ainsi que les aspects liés à la construction du chemin de fer et du port. Volet infrastructures ferroviaires, elles ont surtout touché les trois options proposées par Rio Tinto, à savoir le tracé Beyla-Kérouané-Kankan-Kouroussa jusqu’à Forécariah, le tracé à 10 km de la frontière de la Sierra Leone et celui à une distance de 2 kilomètres des frontières Léonaises.
Mais le gouvernement guinéen, très soucieux de la sécurité de ses infrastructures a demandé à ce que le chemin de fer soit à l'intérieur du pays et non à quelques kilomètres du territoire de la Sierra Leone.
"Je suis vraiment satisfait et le niveau des discussions était profond'', a déclaré Alan Davies, président des opérations internationales pour le fer de Rio Tinto.
Côté guinéen, on apprécie également le déroulement des débats. Le ministre d'Etat aux Travaux publics et Transport, Bah Ousmane estime que cette réunion période du Comité de pilotage du projet Simandou a abordé des questions très importantes notamment en matière d’infrastructures routières, ferroviaires et portuaires.
"Ce qui est très important, c’est d’avoir enregistré que les partenaires et la Guinée se sont accordés pour la réalisation des infrastructures routières, notamment le lancement de la construction et du bitumage de la route Beyla-N’Zérékoré, dont le contrat sera signé bientôt", a indiqué Bah.
"La réunion a été très positive et je pense que l’impact de ce projet se fera sentir très prochainement", a-t-il conclu.
La prochaine rencontre a été fixée au 12 Juin à Londres, selon le ministre des Mines et de la Géologie, Mohamed Lamine Fofana.
Rio Tinto dispose de 50,35% de participation, tandis que le consortium Chalco détient 44,65% dans Simfer. La SFI quant à elle dispose de 5%. "Le Gouvernement guinéen conserve ses droits de participation dans le projet et devrait prendre sa première participation très bientôt", a annoncé Rio Tinto dans un communiqué le 25 avril. © Copyright Mines de Guinée
Rio Tinto dispose de 50,35% de participation, tandis que le consortium Chalco détient 44,65% dans Simfer. La SFI quant à elle dispose de 5%. "Le Gouvernement guinéen conserve ses droits de participation dans le projet et devrait prendre sa première participation très bientôt", a annoncé Rio Tinto dans un communiqué le 25 avril. © Copyright Mines de Guinée
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