L’hôtel Ivotel abrite du 13 au 15 février 2013, la réunion annuelle des présidents des Commissions nationales sur les armes légères et de petit calibre (Comnat-ALPC) de la Cedeao. Il s’agira pendant 3 jours, d’analyser les mesures prises par les Etats-membres de la Cedeao pour faire face à ce fléau.
C’est le contrôleur-général Désiré Adjoussou, président de la Comnat Côte d’Ivoire qui a justifié ladite réunion. Il a indiqué que la politique commune de lutte contre ce phénomène qui freine toutes les initiatives de développement des Etats a besoin d’une meilleure dynamique. Le général Adjoussou a souligné que malgré quelques avancées en Côte d’Ivoire, beaucoup reste à faire. C’est en cela qu’il entend bénéficier des expériences des autres. Quant au représentant du Commissaire chargé des Affaires politiques, de la paix et de la sécurité de la Cedeao, il a dit être très préoccupé par les effets néfastes que les armes légères continuent d’avoir sur la stabilité et la sécurité des Etats membres, malgré les efforts déployés.
La situation actuelle au Mali, en Guinée Bissau, en Côte d’Ivoire et à la frontière ivoiro-libérienne en est la preuve éloquente. A cela s’ajoute, l’insécurité grandissante dans les villes en proie aux crimes organisés, aux vols à mains armées, etc. C’est pourquoi, la Cedeao a pris des initiatives pour appuyer les Comnat, comme un fonds d’environ 3 milliards de FCFA pour financer leurs activités. Pour lui, il est impérieux qu’à leur tour, les Etats membres mobilisent les ressources au niveau national en complément.
Olivier GuédéL'intelligent d'Abidjan
C’est le contrôleur-général Désiré Adjoussou, président de la Comnat Côte d’Ivoire qui a justifié ladite réunion. Il a indiqué que la politique commune de lutte contre ce phénomène qui freine toutes les initiatives de développement des Etats a besoin d’une meilleure dynamique. Le général Adjoussou a souligné que malgré quelques avancées en Côte d’Ivoire, beaucoup reste à faire. C’est en cela qu’il entend bénéficier des expériences des autres. Quant au représentant du Commissaire chargé des Affaires politiques, de la paix et de la sécurité de la Cedeao, il a dit être très préoccupé par les effets néfastes que les armes légères continuent d’avoir sur la stabilité et la sécurité des Etats membres, malgré les efforts déployés.
La situation actuelle au Mali, en Guinée Bissau, en Côte d’Ivoire et à la frontière ivoiro-libérienne en est la preuve éloquente. A cela s’ajoute, l’insécurité grandissante dans les villes en proie aux crimes organisés, aux vols à mains armées, etc. C’est pourquoi, la Cedeao a pris des initiatives pour appuyer les Comnat, comme un fonds d’environ 3 milliards de FCFA pour financer leurs activités. Pour lui, il est impérieux qu’à leur tour, les Etats membres mobilisent les ressources au niveau national en complément.
Olivier GuédéL'intelligent d'Abidjan
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