Une mission du Fonds monétaire international (FMI) séjourne actuellement en Guinée dans le cadre de la revue périodique du programme de facilité économique noué entre les nouvelles autorités du pays et les institutions financière internationales.
Selon le chef de mission du FMI pour la Guinée, Harry Snoek, le premier constat fait par les experts du FMI est que le gouvernement guinéen a atteint tous les objectifs quantitatifs du programme préalablement fixé pour fin décembre 2012, avec une baisse du taux d'inflation et uns stabilité du taux de change entre la monnaie locale et les devises étrangères.
Toutefois, le chef de mission se dit très conscient de l'état de pauvreté dans le pays et des nombreuses attentes de la population en termes de fourniture des services sociaux de base.
Il affirme que cette situation déplorable est le résultat des problèmes socioéconomiques qui datent de 2009 et 2010, les troubles sociaux que le pays a enregistré durant la crise politique.
Il a rappelé que le taux d'inflation avait été ramné de 23%, en octobre 2011, à 13% en fin 2012.
Dans la logique de réforme macroéconomique, le plus important est la politique budgétaire, a souligné M. Snoek, disant que "s' assurer que le budget est financé à cent pour cent par l'Etat sans demander des crédits à la Banque centrale de la république de Guinée (BCRG)".
Tous les six mois, une mission d'évaluation doit venir en Guinée pour discuter avec les autorités, revoir le niveau de développement atteint par le pays et mettre à jour les termes de référence du programme, a expliqué M. Snoek.
xinhua
Selon le chef de mission du FMI pour la Guinée, Harry Snoek, le premier constat fait par les experts du FMI est que le gouvernement guinéen a atteint tous les objectifs quantitatifs du programme préalablement fixé pour fin décembre 2012, avec une baisse du taux d'inflation et uns stabilité du taux de change entre la monnaie locale et les devises étrangères.
Toutefois, le chef de mission se dit très conscient de l'état de pauvreté dans le pays et des nombreuses attentes de la population en termes de fourniture des services sociaux de base.
Il affirme que cette situation déplorable est le résultat des problèmes socioéconomiques qui datent de 2009 et 2010, les troubles sociaux que le pays a enregistré durant la crise politique.
Il a rappelé que le taux d'inflation avait été ramné de 23%, en octobre 2011, à 13% en fin 2012.
Dans la logique de réforme macroéconomique, le plus important est la politique budgétaire, a souligné M. Snoek, disant que "s' assurer que le budget est financé à cent pour cent par l'Etat sans demander des crédits à la Banque centrale de la république de Guinée (BCRG)".
Tous les six mois, une mission d'évaluation doit venir en Guinée pour discuter avec les autorités, revoir le niveau de développement atteint par le pays et mettre à jour les termes de référence du programme, a expliqué M. Snoek.
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