Un juge d'instruction a auditionné vendredi, Ibrahima Sory Touré,
Vice-président et chef des relations extérieures de BSGR-Guinée, et
Issiaga Bangoura agent de sécurité de la compagnie, en détention
préventive depuis le mois dernier pour corruption et versement de
pots-de-vin avant l’obtention des blocs 1 et 2 de Simandou.
L’audition, première du genre et qui fait suite à celles de l'enquête préliminaire à la DPJ, a commencé par Ibrahima Sory Touré, selon les constats effectués par notre reporter au parquet de la Cour d’appel de Conakry. Outre les avocats des deux prévenus, dont deux Français et le procureur de la République, ont notait la présence de quelques agents américains, qualifiés par la défense ‘’d’agents du FBI’’.
Le conseil de Touré et Bangoura, Me Mömö Sacko a affirmé à minesdeguinee.com que la procédure enclenchée à l’encontre de ses clients n’avait aucun fondement solide.
"La Guinée veut se donner les moyens de prouver les allégations sur la corruption soulevées aux Etats-Unis, mais nous sommes à l’aise dans ce dossier parce qu'il est vide’’, a déclaré Sacko.
‘’Nous tendons à la libération de nos clients parce que les faits qu'on leur reproche ne sont pas établis, et même les enquêteurs américains ont des difficultés", a-t-il dit.
Nous y reviendrons...
EC/10-05-13/MG
L’audition, première du genre et qui fait suite à celles de l'enquête préliminaire à la DPJ, a commencé par Ibrahima Sory Touré, selon les constats effectués par notre reporter au parquet de la Cour d’appel de Conakry. Outre les avocats des deux prévenus, dont deux Français et le procureur de la République, ont notait la présence de quelques agents américains, qualifiés par la défense ‘’d’agents du FBI’’.
Le conseil de Touré et Bangoura, Me Mömö Sacko a affirmé à minesdeguinee.com que la procédure enclenchée à l’encontre de ses clients n’avait aucun fondement solide.
"La Guinée veut se donner les moyens de prouver les allégations sur la corruption soulevées aux Etats-Unis, mais nous sommes à l’aise dans ce dossier parce qu'il est vide’’, a déclaré Sacko.
‘’Nous tendons à la libération de nos clients parce que les faits qu'on leur reproche ne sont pas établis, et même les enquêteurs américains ont des difficultés", a-t-il dit.
Nous y reviendrons...
EC/10-05-13/MG
Mines de Guinée
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