Après plus d’un mois d’enquêtes, selon une source policière proches du dossier, la police guinéenne vient de mettre le grappin sur deux présumés assassins de l’ex-directrice nationale du trésor, Mme Aissatou Boiro et de Paul Cole, ingénieur informaticien à la société ETI, tous deux tués par balle dans la nuit du vendredi 9 novembre 2012 dans le quartier de Kipé.
Il s’agit d’un Guinéen Alpha Oumar Bah et d’un Sierra-léonais Mohamed Sankhon, actuellement détenus à la direction centrale de la police judiciaire à Kaloum.
Les deux malfrats auraient été pris avec certains objets de leurs victimes, notamment la clé USB de Paul Cole de ETI retrouvée au domicile de Mohamed Sankhon.
Selon nos sources, ces deux bandits sont membres d’un gang de cinq personnes qui ont braqué dans la soirée du vendredi 6 novembre aux environs de 21 heures, la voiture de l’employé de la société ETI, Paul Cole afin, dit-on, de lui retirer ses biens et éventuellement sa voiture RAV 4.
Ce braquage avec des armes automatiques aurait créé un gigantesque embouteillage d’une centaine de mètres sur la route de Kipé, permettant aux bandits de faire leur sale besogne dans l’obscurité.
Une fois braquée par les bandits poursuivent nos sources, la voiture de Paul aurait barré la route des deux sens de la circulation.
Rentrant du travail après une journée de dur labeur, la directrice nationale du trésor, Mme Boiro serait venue tombée sur cet embouteillage provoqué par les malfrats. Ne voulant pas trop retarder sur les lieux, elle aurait demandé à son chauffeur de dévier pour se frayer un chemin en mettant les feux de détresse de la voiture.
Il s’agit d’un Guinéen Alpha Oumar Bah et d’un Sierra-léonais Mohamed Sankhon, actuellement détenus à la direction centrale de la police judiciaire à Kaloum.
Les deux malfrats auraient été pris avec certains objets de leurs victimes, notamment la clé USB de Paul Cole de ETI retrouvée au domicile de Mohamed Sankhon.
Selon nos sources, ces deux bandits sont membres d’un gang de cinq personnes qui ont braqué dans la soirée du vendredi 6 novembre aux environs de 21 heures, la voiture de l’employé de la société ETI, Paul Cole afin, dit-on, de lui retirer ses biens et éventuellement sa voiture RAV 4.
Ce braquage avec des armes automatiques aurait créé un gigantesque embouteillage d’une centaine de mètres sur la route de Kipé, permettant aux bandits de faire leur sale besogne dans l’obscurité.
Une fois braquée par les bandits poursuivent nos sources, la voiture de Paul aurait barré la route des deux sens de la circulation.
Rentrant du travail après une journée de dur labeur, la directrice nationale du trésor, Mme Boiro serait venue tombée sur cet embouteillage provoqué par les malfrats. Ne voulant pas trop retarder sur les lieux, elle aurait demandé à son chauffeur de dévier pour se frayer un chemin en mettant les feux de détresse de la voiture.
Arrivée à quelques mètres de la voiture de Paul Cole, les bandits pris de peur à cause des feux de détresse de la voiture de Mme Boiro qui portait la plaque d’immatriculation VA (Voiture Administrative), auraient directement pensé à une voiture d’intervention de la police, venue pour secourir les assaillants.
Devant cette situation, les bandits auraient ouvert le feu en direction de la voiture VA qui se dirigeait vers eux. Et du coup, les tirs nourris qui ont été faits sur les lieux, auraient atteint Mme Aissatou Boiro et Paul Cole de la société ETI qui succomberont des suites de leurs blessures.
A en croire nos sources, les deux malfrats ont reconnu être les auteurs de la mort de Mme Boiro et de Paul Cole qu’ils n’ont jamais connu auparavant. Ils auraient même soutenu que la mort de ces deux personnes n’aurait aucun trait de règlement de compte.
« Quand nous avons braqué la première voiture, on voulait lui retirer ses biens sans le tuer. Mais entre temps, nous avons vu une voiture 4x4 avec une immatriculation VA. Nous avons directement pensé aux policiers et aux gendarmes qu’on aurait appelés pour venir secourir les personnes attaqués. Comme ils fonçaient vers nous, nous avons fait un rafale pour nous échapper », aurait expliqué aux enquêteurs un des présumés assassins.
Devant cette situation, les bandits auraient ouvert le feu en direction de la voiture VA qui se dirigeait vers eux. Et du coup, les tirs nourris qui ont été faits sur les lieux, auraient atteint Mme Aissatou Boiro et Paul Cole de la société ETI qui succomberont des suites de leurs blessures.
A en croire nos sources, les deux malfrats ont reconnu être les auteurs de la mort de Mme Boiro et de Paul Cole qu’ils n’ont jamais connu auparavant. Ils auraient même soutenu que la mort de ces deux personnes n’aurait aucun trait de règlement de compte.
« Quand nous avons braqué la première voiture, on voulait lui retirer ses biens sans le tuer. Mais entre temps, nous avons vu une voiture 4x4 avec une immatriculation VA. Nous avons directement pensé aux policiers et aux gendarmes qu’on aurait appelés pour venir secourir les personnes attaqués. Comme ils fonçaient vers nous, nous avons fait un rafale pour nous échapper », aurait expliqué aux enquêteurs un des présumés assassins.
« Quand nous avons braqué la première voiture, on voulait lui retirer ses biens sans le tuer. Mais entre temps, nous avons vu une voiture 4x4 avec une immatriculation VA. Nous avons directement pensé aux policiers et aux gendarmes qu’on aurait appelés pour venir secourir les personnes attaqués. Comme ils fonçaient vers nous, nous avons fait un rafale pour nous échapper », aurait expliqué aux enquêteurs un des présumés assassins.
« C’est le lendemain à travers les radios qu’on s’est rendus compte que c’est une grande personnalité du pays qu’on a tuée sans s’en rendre compte. Avant cette attaque, nous n’avons jamais connu Mme Boiro et Paul. Ils se sont seulement retrouvés dans un mauvais endroit au mauvais moment », aurait-t-il affirmé en soutenant qu’ils n’ont été instruit par personne pour tuer ces deux victimes dont la mort a défrayé la chronique sur toute l’étendue du territoire national.
En attendant leur transfert ce vendredi 28 décembre 2012 à la maison centrale de Conakry, les deux présumés assassins sont détenus dans le violon de la direction centrale de la police judiciaire dans la commune de Kaloum.
Mme Aissatou Boiro et Paul Temple Cole ont été froidement abattus dans la nuit du vendredi 9 novembre 2012 par des inconnus qui ont jeté les soupçons sur les présumés auteurs de la tentative de détournement de 13 millions de francs guinéens dont Mme Boiro a été la personne qui a révélé cette tentative de corruption sans précédent dans l’administration publique guinéenne.
Pour essuyer les larmes de la famille de Mme Aissatou Boiro, le président Alpha Condé nommera son mari au poste de ministre de l’Environnement quelques semaines après son décès.
Après l’arrestation de ces deux présumés assassins, trois de leurs complices courent toujours en attendant leur arrestation déjà promis par la police qui serait sur leurs traces.
Conakryinfos
« C’est le lendemain à travers les radios qu’on s’est rendus compte que c’est une grande personnalité du pays qu’on a tuée sans s’en rendre compte. Avant cette attaque, nous n’avons jamais connu Mme Boiro et Paul. Ils se sont seulement retrouvés dans un mauvais endroit au mauvais moment », aurait-t-il affirmé en soutenant qu’ils n’ont été instruit par personne pour tuer ces deux victimes dont la mort a défrayé la chronique sur toute l’étendue du territoire national.
En attendant leur transfert ce vendredi 28 décembre 2012 à la maison centrale de Conakry, les deux présumés assassins sont détenus dans le violon de la direction centrale de la police judiciaire dans la commune de Kaloum.
Mme Aissatou Boiro et Paul Temple Cole ont été froidement abattus dans la nuit du vendredi 9 novembre 2012 par des inconnus qui ont jeté les soupçons sur les présumés auteurs de la tentative de détournement de 13 millions de francs guinéens dont Mme Boiro a été la personne qui a révélé cette tentative de corruption sans précédent dans l’administration publique guinéenne.
Pour essuyer les larmes de la famille de Mme Aissatou Boiro, le président Alpha Condé nommera son mari au poste de ministre de l’Environnement quelques semaines après son décès.
Après l’arrestation de ces deux présumés assassins, trois de leurs complices courent toujours en attendant leur arrestation déjà promis par la police qui serait sur leurs traces.
Conakryinfos
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