CONAKRY -- La scolarité de 8 000 enfants guinéens vivant
dans la cité d'alumine de Friguia est "compromise" à cause de la crise qui
affecte cette usine dont les activités sont interrompues depuis le mois d'avril
2012, pour cause de grève, a-t-on appris vendredi de source
syndicale.
Les parents de ces enfants tous employés dans cette usine d'alumine gérée par le géant minier russe Rusal ont en effet du mal à faire face à leurs obligations, pour ce qui est de la scolarisation de leurs progénitures.
Etant sans salaire depuis le début du mouvement de grève déclenché par le personnel exigeant une amélioration de leurs conditions de vie et de travail.
L'implication du gouvernement guinéen en faveur d'une sortie de crise n'a pour le moment pas permis de lever tous les obstacles vers un retour à la normale au sein de l'usine de Friguia.
Certes, les turbines sont alimentées régulièrement en mazout, pour permettre d'assurer la desserte en eau et en électricité de la ville de Fria.
Le gouvernement guinéen a dû apporter un concours financier, afin de ne pas laisser les 120 mille habitants se retrouver dans le noir et sans eau, selon des sources officielles. Car la direction de Rusal avait tiré la sonnette d'alarme sur l'incapacité de la société à continuer à faire tourner les turbines faute de mazout.
Le Mouvement syndical qui a inscrit dans sa plateforme revendicative la résiliation du contrat de cession de l'usine d'alumine de Fria, a profité de son assemblée générale tenue jeudi à Conakry pour plaindre le sort de ces 8 mille enfants de cette cité située à une centaine de kilomètres de la capitale, qui ont du mal à retrouver le chemin des classes pour cette année scolaire qui a démarré depuis le 3 octobre 2012.
Xinhuanet
Les parents de ces enfants tous employés dans cette usine d'alumine gérée par le géant minier russe Rusal ont en effet du mal à faire face à leurs obligations, pour ce qui est de la scolarisation de leurs progénitures.
Etant sans salaire depuis le début du mouvement de grève déclenché par le personnel exigeant une amélioration de leurs conditions de vie et de travail.
L'implication du gouvernement guinéen en faveur d'une sortie de crise n'a pour le moment pas permis de lever tous les obstacles vers un retour à la normale au sein de l'usine de Friguia.
Certes, les turbines sont alimentées régulièrement en mazout, pour permettre d'assurer la desserte en eau et en électricité de la ville de Fria.
Le gouvernement guinéen a dû apporter un concours financier, afin de ne pas laisser les 120 mille habitants se retrouver dans le noir et sans eau, selon des sources officielles. Car la direction de Rusal avait tiré la sonnette d'alarme sur l'incapacité de la société à continuer à faire tourner les turbines faute de mazout.
Le Mouvement syndical qui a inscrit dans sa plateforme revendicative la résiliation du contrat de cession de l'usine d'alumine de Fria, a profité de son assemblée générale tenue jeudi à Conakry pour plaindre le sort de ces 8 mille enfants de cette cité située à une centaine de kilomètres de la capitale, qui ont du mal à retrouver le chemin des classes pour cette année scolaire qui a démarré depuis le 3 octobre 2012.
Xinhuanet
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