CONAKRY -- A peine installé dans ses fonctions
ministérielles, le nouveau chef de département des droits de l'homme et des
libertés publiques Gassama Kalifa Diaby, s'est engagé mardi, à promouvoir les
valeurs humaines et à bâtir un Etat de droit respectueux des principes
démocratiques.
A l'occasion de son installation à la tête du tout nouveau ministère des droits de l'homme et des libertés publiques, M. Diaby a noté que la création (pour la première) de son département découle de l'expression d'une réelle volonté politique du président guinéen Alpha condé à faire de la promotion des droits de l'homme, le socle de la démocratie guinéenne.
Ce qui, dit-il, va redonner aux populations guinéennes, l'espérance d'une société démocratique, où la justice sociale, l'unité nationale, la solidarité et l'esprit de tolérance en sont les piliers fondamentaux.
Pour lui, "les droits de l'homme sont les droits qui relèvent de la nature, sans aucune appartenance politique, ethniques etc".
"La politique à l'obligation de permettre l'existence des droits de l'homme", a-t-il dit, avant d'ajouter que dans un cadre démocratique, toute politique exclusive engendre un comportement de violence".
Raison de plus pour le ministre de saluer l'élan du gouvernement à s'impliquer davantage aux près de certains partenaires notamment des institutions internationales de droits de l'homme, a faire œuvre utile pour la promotion de la culture démocratique et l'instauration d'une paix sociale durable dans le pays.
Pour cet ancien professeur de Droit à Paris, "le respect de la loi est un impératif incontournable" qui s'impose à tous, y compris la puissance publique (Etat).
"Mon combat et ma détermination iront dans la préservation et la valorisation des droits de l'homme", a-t-il précisé, avant de mentionné que la réconciliation nationale, le dialogue national et l'éducation civique des citoyens sont des volets de son action pour réussir sa mission dans l'intérêt de tous. Car affirme-t-il, "l'injustice n'est pas propice à la paix sociale".
Au nom du gouvernement guinéen, le ministre d'Etat en charge de la justice et gardes des sceaux Me Christian Sow a rappelé la complexité des tâches du nouveau ministre, avant de l'inviter à accomplir des gestes en faveur des libertés publiques et la garantie des droits de l'homme dans le pays.
"Osez agir et posez des actes dans l'intérêt de notre pays", a conclu le ministre d'Etat en charge de la justice.
A l'occasion de son installation à la tête du tout nouveau ministère des droits de l'homme et des libertés publiques, M. Diaby a noté que la création (pour la première) de son département découle de l'expression d'une réelle volonté politique du président guinéen Alpha condé à faire de la promotion des droits de l'homme, le socle de la démocratie guinéenne.
Ce qui, dit-il, va redonner aux populations guinéennes, l'espérance d'une société démocratique, où la justice sociale, l'unité nationale, la solidarité et l'esprit de tolérance en sont les piliers fondamentaux.
Pour lui, "les droits de l'homme sont les droits qui relèvent de la nature, sans aucune appartenance politique, ethniques etc".
"La politique à l'obligation de permettre l'existence des droits de l'homme", a-t-il dit, avant d'ajouter que dans un cadre démocratique, toute politique exclusive engendre un comportement de violence".
Raison de plus pour le ministre de saluer l'élan du gouvernement à s'impliquer davantage aux près de certains partenaires notamment des institutions internationales de droits de l'homme, a faire œuvre utile pour la promotion de la culture démocratique et l'instauration d'une paix sociale durable dans le pays.
Pour cet ancien professeur de Droit à Paris, "le respect de la loi est un impératif incontournable" qui s'impose à tous, y compris la puissance publique (Etat).
"Mon combat et ma détermination iront dans la préservation et la valorisation des droits de l'homme", a-t-il précisé, avant de mentionné que la réconciliation nationale, le dialogue national et l'éducation civique des citoyens sont des volets de son action pour réussir sa mission dans l'intérêt de tous. Car affirme-t-il, "l'injustice n'est pas propice à la paix sociale".
Au nom du gouvernement guinéen, le ministre d'Etat en charge de la justice et gardes des sceaux Me Christian Sow a rappelé la complexité des tâches du nouveau ministre, avant de l'inviter à accomplir des gestes en faveur des libertés publiques et la garantie des droits de l'homme dans le pays.
"Osez agir et posez des actes dans l'intérêt de notre pays", a conclu le ministre d'Etat en charge de la justice.
Xinhuanet
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