On ne cessera jamais de le dire que la route tue plus que le
sida. Cette fois-ci, c’est le directeur central de la sécurité routière Hamidou
Babacar Sarr qui vient d’appuyer la thèse. Selon le responsable de la sécurité
routière, en seulement six (6) ans, plus de 300 personnes ont été tuées à
Bambéto.
Et comme pour dire qu’il y a le feu à la demeure, le commissaire Sarr ajoute que plus de 100 personnes ont été aussi tuées à Conakry en l’espace de huit (8) mois. Une situation inquiétante qui vient de s’ajouter à la psychose liée à l’insécurité grandissante dans le pays.
Cependant, aux dires de certains observateurs, cette situation s’explique par l’inaction et la fuite de responsabilité des services de la sécurité routière et l’imprudence caractérisée des usagers de la route.
Pour d’autres, le mauvais état de la route, le manque d’un réel engagement de la haute hiérarchie, l’impartialité et la facilité d’octroi des permis de conduire sont à la base de ladite situation déplorable.
Pire, par le temps qui passe, et comme pour dire qu’il n’est pas assez, la direction centrale de la sécurité routière met en place un nouveau plan ”mortel” de circulation routière. Un système qui est expérimenté sur la nationale Fidel Castro pour selon les autorités avoir une fluidité dans la circulation à des heures de pointe.
Mais il faut reconnaître et avoir le courage de le dire que ce nouveau plan ne fait que des malheureux. Car, il n’y a pas le jour qui passe sans y enregistrer un accident mortel. L’on n’a pas besoin de dire combien sont morts depuis la mise en place de ce système il y a plus de 6 mois.
Abou Condé/Aminata.com
Et comme pour dire qu’il y a le feu à la demeure, le commissaire Sarr ajoute que plus de 100 personnes ont été aussi tuées à Conakry en l’espace de huit (8) mois. Une situation inquiétante qui vient de s’ajouter à la psychose liée à l’insécurité grandissante dans le pays.
Cependant, aux dires de certains observateurs, cette situation s’explique par l’inaction et la fuite de responsabilité des services de la sécurité routière et l’imprudence caractérisée des usagers de la route.
Pour d’autres, le mauvais état de la route, le manque d’un réel engagement de la haute hiérarchie, l’impartialité et la facilité d’octroi des permis de conduire sont à la base de ladite situation déplorable.
Pire, par le temps qui passe, et comme pour dire qu’il n’est pas assez, la direction centrale de la sécurité routière met en place un nouveau plan ”mortel” de circulation routière. Un système qui est expérimenté sur la nationale Fidel Castro pour selon les autorités avoir une fluidité dans la circulation à des heures de pointe.
Mais il faut reconnaître et avoir le courage de le dire que ce nouveau plan ne fait que des malheureux. Car, il n’y a pas le jour qui passe sans y enregistrer un accident mortel. L’on n’a pas besoin de dire combien sont morts depuis la mise en place de ce système il y a plus de 6 mois.
Abou Condé/Aminata.com
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