Les voitures de luxe, notamment les 4x4 sont les plus visées
par les voleurs qui n’hésitent pas à faire usage d’armes à feu, pour arracher
ces bolides des mains de leurs propriétaires en pleine circulation dans les rues
de Conakry, comme le confirment les nombreuses plaintes enregistrées au niveau
des services de sécurité de la capitale depuis un certain temps.
Du coup, certains propriétaires de voitures de luxe, de type 4x4 préfèrent les garer une fois la nuit tombée, pour ne pas se retrouver comme cible des bandits, spécialisés dans le vol de voitures.
Récemment un jeune homme s’est vu arracher sa voiture par des bandits et le garçon fut blessé au bras, d’après des sources policières.
Un commerçant n’a pas eu la même chance, lui sera abattu par les assaillants qui lui demandaient les clés de sa voiture du côté de Contéyah, un quartier de la banlieue de Conakry.
La recrudescence du vol de voiture est telle qu’il y a environ trois semaines, l’arrestation d’une bande de voleurs avait permis de retrouver une dizaine de véhicules.
Les services de sécurité avaient mis cette occasion à profit pour inviter les "victimes" à des séances de vérification, dans l’espoir de retrouver leurs voitures.
La psychose est palpable chez les détenteurs de gros bolides. C’est le cas de Doukouré, qui possède 2 voitures de type 4x4, coûtant près de 70 mille dollars us, l’unité. Ce patron de société qui adore collectionner les belles voitures ne roule désormais qu’en véhicule banalisé, pour ses déplacements nocturnes.
Doukouré n’est pas seul dans ce cas. Certains gros bonnets vont jusqu’à préférer se déplacer en taxis. Une manière de mettre à l’abri des regards "suspects", des véhicules trop coûteux.
Le phénomène de vol de voiture n’est pas à ses débuts dans la capitale guinéenne. Sous le règne de la junte de Moussa Dadis Camara, des cas étaient fréquemment signalés. Des diplomates avaient fait cette amère expérience. C’est le cas de l’ex- ambassadeur du Ghana et son homologue du Mali.
Ces diplomates avaient été dépossédés de leurs voitures et " brutalisés" par des hommes en uniforme, armés de fusils automatiques. Durant la même période, le directeur de la banque primaire de la place avait lui été attaqué par des hommes en uniforme. Sa voiture fut arrachée.
Le capitaine Moussa Dadis Camara, très ému par cet acte avait promis d’affecter des véhicules à ces personnalités victimes de braquage. Près de 4 ans après le déroulement de ces actes criminels à l’encontre d’automobilistes, choisis parfois au hasard dans la capitale guinéenne, le vol de voitures persiste et le phénomène n’a jamais été aussi recrudescent.
Un autre front qui s’ouvre aux services de sécurité déjà débordés par la lutte contre le grand banditisme.
Du coup, certains propriétaires de voitures de luxe, de type 4x4 préfèrent les garer une fois la nuit tombée, pour ne pas se retrouver comme cible des bandits, spécialisés dans le vol de voitures.
Récemment un jeune homme s’est vu arracher sa voiture par des bandits et le garçon fut blessé au bras, d’après des sources policières.
Un commerçant n’a pas eu la même chance, lui sera abattu par les assaillants qui lui demandaient les clés de sa voiture du côté de Contéyah, un quartier de la banlieue de Conakry.
La recrudescence du vol de voiture est telle qu’il y a environ trois semaines, l’arrestation d’une bande de voleurs avait permis de retrouver une dizaine de véhicules.
Les services de sécurité avaient mis cette occasion à profit pour inviter les "victimes" à des séances de vérification, dans l’espoir de retrouver leurs voitures.
La psychose est palpable chez les détenteurs de gros bolides. C’est le cas de Doukouré, qui possède 2 voitures de type 4x4, coûtant près de 70 mille dollars us, l’unité. Ce patron de société qui adore collectionner les belles voitures ne roule désormais qu’en véhicule banalisé, pour ses déplacements nocturnes.
Doukouré n’est pas seul dans ce cas. Certains gros bonnets vont jusqu’à préférer se déplacer en taxis. Une manière de mettre à l’abri des regards "suspects", des véhicules trop coûteux.
Le phénomène de vol de voiture n’est pas à ses débuts dans la capitale guinéenne. Sous le règne de la junte de Moussa Dadis Camara, des cas étaient fréquemment signalés. Des diplomates avaient fait cette amère expérience. C’est le cas de l’ex- ambassadeur du Ghana et son homologue du Mali.
Ces diplomates avaient été dépossédés de leurs voitures et " brutalisés" par des hommes en uniforme, armés de fusils automatiques. Durant la même période, le directeur de la banque primaire de la place avait lui été attaqué par des hommes en uniforme. Sa voiture fut arrachée.
Le capitaine Moussa Dadis Camara, très ému par cet acte avait promis d’affecter des véhicules à ces personnalités victimes de braquage. Près de 4 ans après le déroulement de ces actes criminels à l’encontre d’automobilistes, choisis parfois au hasard dans la capitale guinéenne, le vol de voitures persiste et le phénomène n’a jamais été aussi recrudescent.
Un autre front qui s’ouvre aux services de sécurité déjà débordés par la lutte contre le grand banditisme.
Afriscoop
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