CONAKRY -- Le président guinéen a renouvelé sa confiance en
la performance de l'opérateur sud-africain Waymark, affirmant dans un entretien
accordé à une radio étrangère ce jeudi que celui-ci "faisait bien son
travail".
Pour le président Alpha Condé, le débat autour de l'opérateur Waymark est une amplification des médias. Car en réalité "il n'y a aucun débat" la dessus, selon lui.
Puis de faire allusion aux "conclusions" des travaux qui avaient regroupé les parties prenantes au processus électoral guinéen il y a environ trois mois dans un réceptif hôtelier de la place.
Pour Alpha Condé, lors de ces travaux, "il a été très clair que Waymark peut faire. Donc pour moi, il n'y a aucun problème".
Le chef de l'Etat guinéen a mis l'occasion pour annoncer l'arrivée prochaine d'une équipe d'expert de l'Organisation internationale de la Francophonie pour "constater que Waymark fait parfaitement son travail".
A en croire Alpha Condé, le problème essentiel qu'il y avait était lié à recomposition de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Ce qui est dorénavant résolu avec la nomination des commissaires et la composition du bureau doté d'un président.
A propos du chronogramme des élections législatives, Alpha Condé a déclaré qu'il revenait à la CENI de fixer la date des élections. Le président ne fait ensuite qu'entériner le calendrier proposé.
On le voit, si l'opposition guinéenne continue à faire du départ de Waymark une de ses revendications, le pouvoir lui pense pour sa part que l'opérateur sud-africain ne pourrait servir de prétexte pour retarder les élections législatives.
A noter que Waymark a été choisi pour remplacer l'opérateur français Sagem qui avait conçu et gérer le fichier électoral lors de la présidentielle de 2010.
L'opposition accuse le pouvoir d'avoir facilité l'enrôlement de l'opérateur sud-africain, alors que celui-ci comporte "des lacunes " dans son fonctionnement. Ce que la mouvance présidentielle dément.
Xinhuanet
Pour le président Alpha Condé, le débat autour de l'opérateur Waymark est une amplification des médias. Car en réalité "il n'y a aucun débat" la dessus, selon lui.
Puis de faire allusion aux "conclusions" des travaux qui avaient regroupé les parties prenantes au processus électoral guinéen il y a environ trois mois dans un réceptif hôtelier de la place.
Pour Alpha Condé, lors de ces travaux, "il a été très clair que Waymark peut faire. Donc pour moi, il n'y a aucun problème".
Le chef de l'Etat guinéen a mis l'occasion pour annoncer l'arrivée prochaine d'une équipe d'expert de l'Organisation internationale de la Francophonie pour "constater que Waymark fait parfaitement son travail".
A en croire Alpha Condé, le problème essentiel qu'il y avait était lié à recomposition de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Ce qui est dorénavant résolu avec la nomination des commissaires et la composition du bureau doté d'un président.
A propos du chronogramme des élections législatives, Alpha Condé a déclaré qu'il revenait à la CENI de fixer la date des élections. Le président ne fait ensuite qu'entériner le calendrier proposé.
On le voit, si l'opposition guinéenne continue à faire du départ de Waymark une de ses revendications, le pouvoir lui pense pour sa part que l'opérateur sud-africain ne pourrait servir de prétexte pour retarder les élections législatives.
A noter que Waymark a été choisi pour remplacer l'opérateur français Sagem qui avait conçu et gérer le fichier électoral lors de la présidentielle de 2010.
L'opposition accuse le pouvoir d'avoir facilité l'enrôlement de l'opérateur sud-africain, alors que celui-ci comporte "des lacunes " dans son fonctionnement. Ce que la mouvance présidentielle dément.
Xinhuanet
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire