Une pénurie d'essence dans les stations de pompages et de
vente de carburants, due à une rupture d'approvisionnement, a provoqué une
véritable psychose chez les populations de Conakry et celles de certaines
préfectures de l'intérieur du pays.
Selon des informations concordantes, cette rupture d'approvisionnement est due à un retard accusé par le bateau transportant les produits pétroliers destinés aux différentes stations services de la capitale et des villes de l'intérieur du pays.
A présent, le gouvernement guinéen n'a pas réagi à propos de cette rupture des produits pétroliers pourtant indispensables pour la consommation quotidienne dans le pays.
Dans plusieurs stations de Kaloum (centre ville de Conakry) et dans les autres quartiers de la périphérie de Conakry, l'on constate des attroupements d'automobilistes, des motocyclistes et des personnes, venus s'approvisionner en essence ou en gaz-oïl, pour leurs engins roulants.
Des files interminables de véhicules et de motos ont provoqué des embouteillages dans plusieurs zones de Conakry et notamment au niveau des carrefours et les grands axes routiers.
Déjà des personnes malintentionnées se livrant à des spéculations sur le prix du litre des produits pétroliers sont appréhendées dans certains coins de la ville, en procédant à des augmentations démesurées sur le prix préalablement fixés.
Lundi après-midi, certains négociants ont vendu le litre d'essence à environ 15.000 francs guinéens (2,14 dollars) contre 9. 500 GNF (1,35 dollars), le prix initial officiel.
Dans plusieurs préfectures à l'intérieur du pays, le litre d'essence a été vendu à plus de 25.000 francs guinéens (3,57 dollars) aux consommateurs ordinaires.
XINHUA
Selon des informations concordantes, cette rupture d'approvisionnement est due à un retard accusé par le bateau transportant les produits pétroliers destinés aux différentes stations services de la capitale et des villes de l'intérieur du pays.
A présent, le gouvernement guinéen n'a pas réagi à propos de cette rupture des produits pétroliers pourtant indispensables pour la consommation quotidienne dans le pays.
Dans plusieurs stations de Kaloum (centre ville de Conakry) et dans les autres quartiers de la périphérie de Conakry, l'on constate des attroupements d'automobilistes, des motocyclistes et des personnes, venus s'approvisionner en essence ou en gaz-oïl, pour leurs engins roulants.
Des files interminables de véhicules et de motos ont provoqué des embouteillages dans plusieurs zones de Conakry et notamment au niveau des carrefours et les grands axes routiers.
Déjà des personnes malintentionnées se livrant à des spéculations sur le prix du litre des produits pétroliers sont appréhendées dans certains coins de la ville, en procédant à des augmentations démesurées sur le prix préalablement fixés.
Lundi après-midi, certains négociants ont vendu le litre d'essence à environ 15.000 francs guinéens (2,14 dollars) contre 9. 500 GNF (1,35 dollars), le prix initial officiel.
Dans plusieurs préfectures à l'intérieur du pays, le litre d'essence a été vendu à plus de 25.000 francs guinéens (3,57 dollars) aux consommateurs ordinaires.
XINHUA
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